Le congé menstruel suscite l’intérêt du Parlement. Trois propositions de loi ont été déposées ces dernières semaines pour mettre en place une telle mesure, consistant, selon des modalités variables, à autoriser les femmes souffrant de règles douloureuses à s’absenter du travail sans que cela entraîne une perte de salaire.
Après un premier texte socialiste déposé au Sénat, suivi d’un deuxième, toujours issu des rangs socialistes, à l’Assemblée nationale, c’est au tour des députés écologistes Sébastien Peytavie (Dordogne), Sandrine Rousseau (Paris) et Marie-Charlotte Garin (Rhône) de déposer une proposition de loi, vendredi 26 mai…